C’est dimanche et je vais vous parler d’argent!

L’argent et moi… Ca a toujours été une guerre à finir.  Ce l’est encore.

Née dans la pauvreté dans une grande ville, je n’ai eu conscience du manque d’argent de ma famille que lorsque je fus confrontée à la petite Nicole en face de chez moi, lorsque nous vivions dans la ruelle Ste-Elizabeth:  elle était enfant unique.  Elle portait des robes de nylon le dimanche…Moi, j’étais l’aînée de 4 enfants (ma mère en a eu 3 autres par la suite) alors, les robes de nylon, je les admirais dans les vitrines du Woolworth!

Mais la véritable prise de conscience de notre pauvreté fut lorsque je vécus en famille d’accueil quelques années plus tard.

Donc, insécurité financière sérieuse qui fit que dès ma pré-adolescence, j’ai décidé que ce type de pauvreté-là, c’était fini pour moi.

J’ai donc étudié, me suis instruite et me suis organisée pour faire au moins partie de la classe moyenne.

Bonne question à se poser n’est-ce pas?  Au moins une fois par ci, par là!

C’est quoi avoir suffisamment d’argent? Bien sûr, notre rapport à l’argent variera d’une personne à l’autre, de notre enfance, de nos valeurs, de nos besoins mais aussi de ce qu’on nous dit que nous devons absolument posséder pour être « heureuse ».

Les média nous offrent journellement des exemples de bonheurs à partir de l’argent, de la richesse.

Mais qu’en est-il vraiment de nous?  De nos vrais, réels besoins? Ces bonheurs-là, sont-ce de véritables bonheurs ou des panacées pour nous faire « endurer » les affres de la vie?

Je vous invite à la suite de ce blogue d’ici quelques minutes.

Bisous.