Quand on se compare…

On se console!

Réflexion ce matin sur l’envie, le manque, la comparaison.

Tu sais, amie, j’ai encore souvenir de mon adolescence oû je me pensais toujours « moins que ».

Lorsque je me comparais à d’autres, celles que je trouvais plus chanceuses, plus belles, plus ceci et plus cela, je me plongeais dans un état de tristesse et de manque.

Maintenant, alors que je constate que mes neveux et nièces ont plus, plus et plus que j’ai jamais eu (Voyages, maisons, beauté et moyens financiers extras); lorsque je constate que non, je n’irai pas à Amsterdam, en Egypte ou au Costa Rica, je me console.

Je me dis que si mes parents me voyaient aujourd’hui, si ma mère venait se baigner dans ma piscine et qu’elle voyait tous les électros en « stainless » de ma cuisine, si mon père voyait la belle auto hybride et le quartier de Terrebonne dans lequel je vis, ils croiraient tous les deux que je suis riche.

Alors, la tristesse ou l’envie ou la déception de ne pas avoir réalisé tous mes rêves s’en vont, s’enfuient par la fenêtre. Je me rappelle d’oû je viens et le chemin parcouru et la joie et la satisfaction s’installent en moi.

Je réalise que j’ai mon conjoint, mon chien, mon chat, mes voisins et surtout mon fils et sa femme qui font ma fierté. Et je me compte bien heureuse et chanceuse de tout cela. Et le meilleur, tu sais c’est quoi?

J’ai 71 ans, je suis en bonne santé et je me trouve belle!

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