(Vous pouvez partager. Cependant sachez que le premier qui m’insinue que je fais des amalgames, je lui donne un chien de ma chienne).

Donc, voici la question principale que je me pose face à la publicité mur-à-mur qu’on fait aux drags en ce moment, plus l’obligation que nous avons tout à coup d’être d’accord avec les wokes sinon nous sommes des arriérés. (Marie-Soleil Michon nous gratifie même des épithètes: imbéciles et ignorants):

Je me pose une question essentielle: POURQUOI?

POURQUOI? Tout d’un coup on ressent le besoin de parler aux enfants de différences de genres, d’inclusion sous prétexte de contes dans les garderies ou les bibliothèques?

Quelle est l’utilité de tout cela?

Bien sûr, les enfants ne sont pas stupides. Mais le cerveau des enfants à cet âge est comme un disque dur vierge: ils gobent tout ce qu’on leur apprend, ils sont comme des éponges.

Je me méfie énormément de toutes les façons d’affecter la mémoire et le comportement futur des enfants; que ce soit le lavage de cerveau par les catholiques, les sectes, les communistes ou les games que jouent les wokes et les adeptes de l’inclusion des différences sexuelles à tout prix.

On refuse de parler de Jésus, d’enseigner l’Islam ou de créer des lieux de prières, il n’y a même pas de cours d’éducation sexuelle dans les écoles. Mais on considère que d’entrer des drag queens dans les lieux fréquentés par nos enfants est sans conséquences.

Sans s’assurer s’ils ont des compétences en enseignement ou en pédagogie.

Actuellement, on ne parle que des bibliothèques, mais des contes se font aussi dans les garderies et dans les écoles aux USA. Ce sera probablement bientôt notre tour.

Je ne pense pas que Dame Plume ou Marie Quatre-Poches aient eu un agenda social et politique derrière leur personnage. Ce qui n’est pas le cas des drag queens que je continue d’appeler des travestis. Guilda en était un et pourtant, il n’a jamais cherché à « éduquer » les enfants.

Je m’inquiète donc de la santé psychologique des enfants québécois que ce soit par la religion, la mode woke actuelle ou tout autre lavage de cerveau du genre de celui de Ron DeSantis en Floride. Tenter de minimiser l’influence que ces gens-là peuvent avoir sur l’avenir ne réduit pas ou n’efface pas les dérapages pouvant se produire. Pour moi, toutes ces gangs-là que je viens de décrire ne devraient pas être en contact avec les enfants point final.

ET NON JE NE VOTERAI JAMAIS ERIC DUHAIME. MAIS J’AI AUSSI PEUR DE GABRIEL NADEAU-DUBOIS ET DE MANON MASSÉ.

J’ai le malheur ou le bonheur d’avoir une vue d’ensemble (de synthétiser) et de souvent être capable d’anticiper ce qui peut se produire dans l’avenir plus ou moins immédiat.

Si laisser créer des lieux de prières dans nos maisons d’enseignement peut être dangereux pour les dérapes, si laisser des islamistes ou des ultra-catholiques faire des conférences dans nos écoles et universités au point d’avoir peur de nuire à la liberté d’expression, qu’en est-il de l’influence de drag queens pas du tout équipées pour parler à des enfants selon leur degré de développement.

Voilà.